Les Lycéens [Reste 3/3]

Nom: Wats
Prénom: Jenny, Megan
Âge: 16 ans
Année: 2nde
Groupe: Lycéens
Histoire: La vie, c'est juste un enchainement d'évènement et de choix, rien de plus. Si vous avez une vie de merde, c'est de votre faute, parce que vous avez pris de mauvaises décisions. Mais il arrive, dans certains cas, que le malheur d'une personne soit causée par quelqu'un d'autre. Je m'appelle Jenny Megan Wats. Aujourd'hui, le 10 septembre, je fête mes 16 ans. Seize longues années d'existence. J'ai toujours été heureuse, souriante. Je suis quelqu'un de drôle, mais aujourd'hui, cet humour a tourné en cynisme. Ils sont arrivés à 5 h du matin, alors que le soleil n'était même pas encore levé. Ils ont frappé tellement fort sur la porte d'entrée qu'ils l'ont cassée. Ils avaient des armes, des revolvers, des fusils. Ils se sont avancés furtivement vers la chambre de mes parents, et ont crié "Julian Wats, je vous arrête pour meurtre au premier degré de Kyle Garish",. Ils lui ont mis des menottes et l'ont emmené, loin de nous. Je suis née à Cork, en Irlande. J'ai eu une enfance plutôt joyeuse. Nous n'avons jamais été dans le besoin, mon père est un riche neurochirurgien, l'un des plus réputés du Royaume Uni. Je me suis toujours demandée comment il pouvait supporter la vue du sang, comment il pouvait perdre des patients et aller au travail de lendemain matin, sans remords. Je n'ai jamais beaucoup aimé mon père, il est stricte, égoïste, égocentrique, arrogant, impatient. On dirait que sa seule qualité est celle d'avoir le don de sauver des vies. Si je n'ai pas grandi en véritable petite racaille, c'est grâce à ma mère : Kelly Wats.

Je me demande pourquoi elle s'est mariée avec un type aussi con que mon père. L'argent vous me direz, vous avez tort, ma mère n'est pas du tout du genre à se soucier de ça, surtout qu'elle a un travail pas très bien payé, mais elle s'en contente : elle est prof. Elle enseigne les maths. Elle adore son boulot, elle est tellement passionnée par tout cela qu'on se demande si elle n'est pas un peu maboule, aimer les maths...beurk ! Elle m'a enseigné les bonnes manières, elle m'a appris beaucoup de choses, elle m'a aimé, contrairement à l'homme qui me servait de père. Malgré ce qu'on peut croire, je ne suis pas naïve. Je ne sais pas comment je fais, mais je sais toujours quand quelqu'un ment. Ce n'est pas vraiment un don, c'est plus un sens de l'observation assez développé. Ce jour là, quand mon père a été emmené, je lui ai demandé s'il avait tué ce type. Il m'a répondu qu'il n'avait rien fait, et il a menti, je l'ai senti. Ma mère fait confiance à mon instinct, alors quand je lui ai dis que je pensais que Papa l'avait fait, elle m'a cru. Elle a dit qu'on devait partir, changer de ville, de pays, de continent, pour ne plus jamais le revoir. Elle m'a demandé de choisir, j'ai dis Tree Hill. C'est là où est la futur famille d'accueil de la fille que j'aime est. Je ne voulais pas être séparée d'elle, malgré le fait quelle me dise qu'elle ne ressent rien pour moi. Je sais qu'elle m'aime.
Caractère: Drôle, Attachante, Charmante, Gentille.

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Mercy Anderson : Je l'aime. Elle est tout pour moi. Elle dit ne pas m'aimer, elle ment. Je sais qu'elle m'aime. Quand on s'est rencontré, elle m'a dit que ça ne serait qu'une seule nuit, nous deux. Et pourtant, il y en a eu d'autres, à chaque fois qu'elle me voyait, elle ne pouvait pas résister. Elle a beau être la pire des pestes, faire semblant d'être homophobe, mentir, me manipuler, coucher avec d'autres personnes, jamais je ne cesserai de l'aimer.



Nom: Anderson
Prénom: Mercy
Âge: 17 ans
Année: 1ere
Groupe: Lycéens
Histoire:

"Il y a une chose que très peu de gens arrivent à comprendre, c'est que les personnes qui semblent cruelles ont toujours une blessure profonde, due à un traumatisme qui leur est arrivé durant leur enfance, principalement. Tu a été blessée Mercy, et cette blessure restera gravée en toi jusqu'au jour de ta mort, alors arrête de te battre contre le reste du monde, ça ne t'attirera que des ennuis"

Un psy, encore l'un de ces psychologues (je dirai plutôt psychopathes) payés beaucoup plus qu'il ne le méritent à baratiner leurs patients les mêmes discours. Ils pensent tout savoir, il ont tort. Mais celui-ci était différent, il avait frappé juste, il avait raison. Je m'appelle Mercy Anderson. Mon prénom n'est pas très commun, j'ai hérité de celui de la marque de la bière que mon père buvait pendant que ma mère criait pour m'éjecter de son utérus. J'ai toujours rêvé avoir un second prénom, mais mes parents étaient trop défoncés le jour de ma naissance pour s'en soucier. Je suis venue au monde alors que ma mère n'était qu'à 7 mois de grossesse. Résultat de la drogue, cigarette et alcool, même enceinte, elle ne s'est pas arrêtée de prendre de tout ça. Le fait que je sois née à l'avance a vachement frustré mon père, non pas parce qu'il se souciait de ma santé, mais parce qu'il se disait qu'il devrait attendre encore plus longtemps avant de pouvoir me violer (ce qui est complètement stupide, parce que ça n'aurait rien changé si j'étais née 2 mois plus tard). Oui, mon père était un putain de pédophile. Ne faites pas cette gueule, ça arrive tous les jours, des gamins qui se font baiser par leurs pères. Il a donc fallu qu'il attende un petit moment avant de pouvoir abuser de moi. Ces quelques années ont été les plus belles de ma vie. Ma famille n'était pas riche, même plutôt pauvre.

Nous vivions à 3 dans cette petite banlieue modeste de Cork, en Irlande. Ma mère était toujours droguée, et mon père toujours en train de bosser. Tout allait bien jusqu'à ce jour où mon père commença à me violer. J'avais 4 ans, il a du penser que j'étais assez grande. Mon père est obèse, aucune femme ne veut de lui, alors il s'est rabattu sur moi. Pendant plusieurs années, j'ai été sexuellement abusée par mon géniteur, sous le regard de défoncé de ma génitrice. Et devinez comment je m'en suis sortie ? Grâce à cette mégère de voisine qui passait nous emprunter du sucre, 5 ans trop tard. Je suis allé dans plusieurs familles d'accueil, je n'ai accroché avec aucune d'entre elles, tout le monde me trouvait trop froide, trop impolie. La dernière en date habite à Tree Hill, une ville aux États Unis dont je n'ai jamais entendu parler. Ah, et j'oubliais, je suis gay. Vous vous doutez bien que depuis ce que mon père m'a fait, je suis pas mal dégoûtée par les hommes. Mais ça ne m'empêche pas de coucher avec eux, du moment qu'il y a quelque chose à en tirer, comme leurs copines, mais seulement si elles sont super canons ! Je ne parle à personne de mon homosexualité ou de ce qui m'est arrivé pendant mon enfance, et tu n'as pas intérêt à dire un mot non plus, sinon, je t'attrape les c**illes et je te les attaches au plafond (quand je vous dis que je suis impolie).

Caractère: Froide, Impolie, Mystérieuse, Charismatique, Manipulatrice, Arrogante, Honnête lorsque cela blesse les gens, Fouteuse de merde, coureuse de jupons et aussi de quelques caleçons xD

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Jenny Wats : Je ressens quelque chose de bizarre pour une fille, elle s'appelle Jenny Wats. On s'est rencontré dans un bar, je la trouvais magnifique alors je me suis dis que ça allait être mon coup du soir. Mais je me suis attaché à elle, en une seule nuit. Elle était drôle, attachante, gentille, tout le contraire de moi, quoi. Mais elle a quelque chose d'unique que je ne pourrais nommer. Je ne peux pas sortir avec elle, c'est contre ma nature, je suis une nomade, quelqu'un sans attaches, et pourtant, je suis tombée amoureuse...

Nom: Miller
Prénom: Sonia
Âge: 16 ans
Année: 1ere
Groupe: Lycéens
Histoire:
Caractère: Original, Sympathique, Drôle, Fidèle.